Genre & Transition socio-éco à l’Acfas16
« Vulnérabilités sociales et numériques, et engagement écoresponsable : quelles perspectives de genre ? » est le titre de la communication que nous avons présentée, Marie Stéphanie ABOUNA (Univ. de Bourgogne Franche-Comté) et moi-même, Cyril MASSELOT, Mardi 10 Mai 2016 à l’UQÀM, Montréal, Québec, Canada, lors du 84ème congrès de l’Acfas.
Ah, le congrès de l’Acfas… Une institution incontournable pour les chercheurs en sciences sociales. Et je ne dis pas ça pour les poutines des supers bars de la rue Saint-Denis, dans le prolongement de l’étonnante Université du Québec à Montréal, un gigantesque labyrinthe au final super pratique, ni pour l’ambiance des célèbres « Foufounes électriques » 😉
Le congrès de l’Acfas, c’est un monde fourmillant dans toutes les salles de l’UQÀM, communicants et participants à des colloques ayant pour thèmes la santé, l’environnement, le droit, la communication… le Savoir dans toute sa puissance. C’est l’occasion de se remettre à jour sur l’actualité des disciplines, des recherches en cours, avec parfois plus ou moins de bonheur et de chance : tout n’est pas mirifique, tout ne se vaut pas, mais… on y trouve des perles.
Bref. L’équipe avec laquelle je travaille à la MSH de Dijon, le Réseau Transition (étaient présents Olivier Galibert, Laure Abramowitch, et Christelle Faieta) a co-organisé le colloque avec le Cirodd :
« Colloque 14 – Les enjeux de l’opérationnalisation du développement durable pour la transition socio-écologique : un dialogue transdisciplinaire entre la France et le Québec« .
Nous y avons donc présenté une communication, sur la base des résultats du projet Movida dont nous avons déjà parlé dans le cadre notamment du réseau INTI (par exemple lors de la conférence internationale de Huelva en 2013).
De Movida à la TSE, au prisme du genre
Nous avons déjà communiqué plusieurs fois sur certains aspects des résultats de cette recherche, nous en avons même écrit un ouvrage (référencé sur Hal-SHS) expliquant les grandes lignes des résultats principaux, dont on retrouve la présentation sur le site du Réseau Transition, et que l’on peut commander aux Éditions Universitaires de Dijon.
Ici, il était donc question de revisiter ces analyses en les regardant par le prisme de la notion de genre, tant par l’enquête quantitative, que les profils des populations, que les comportements sur la page facebook. La présentation ci-dessous manque bien entendu parfois de texte, puisqu’il s’agit du support. La communication complète est en cours de finalisation et sera publiée selon des modalités à voir avec les organisatrices : à suivre donc…
Je me permettrai des « edit » au fur et à mesure !